Description :
L'importante sous-déclaration des effets indésirables dus aux médicaments dans la base nationale de pharmacovigilance ainsi que les différents "scandales" pharmaceutiques de ces dernières années nous poussent à nous tourner vers de nouvelles sources de données. Suite des projets Vigi4Med et PHARES, cette thèse permettra d'explorer l'utilisation et le potentiel des données issues des réseaux sociaux, fréquentés et nourris par des millions d'utilisateurs chaque jour, dans le cadre de la pharmacovigilance.